A sample prompt of what you can find in this page
Prompt by b06073bffc7

petite Nano Banana prompts

very few results

21 days ago

UHD, 4k, ultra detailed, cinematic, a photograph of <lora:cinematic film style darkman v1-step00001850:0.8> score_9, score_8_up, score_7_up, realistic, high quality, raw, film grain, solo, 1girl, Full-body portrait of Savannah, regal Nubian goddess, petite yet built like a powerhouse. ((black skin:1.9)), ((very dark African skin:1.8)), glowing mahogany, radiant under dramatic warm light. Her body is sculpted: ((deep etched six-pack abs)), ((vascular shoulders)), ((veined biceps and forearms)), thighs massive and striated, calves taut, every contour glistening with sweat. Smaller natural breasts pressed tight beneath a plunging emerald latex-sheen cocktail dress, neckline carved dangerously low between sculpted pecs and collarbones. The hem slashed into a scandalous slit nearly to her hip, exposing corded quads and calves wrapped in sheer black tights. Stiletto heels, straps biting at her ankles, elongating already commanding legs. Golden hoops, layered bangles, delicate choker flashing against her sweat-glistened neck. Long braids jeweled with golden beads cascade down, framing sharp cheekbones, broad nose, and full crimson lips twisted into a fierce, knowing smirk. Golden-brown eyes glare direct, dominance radiating. She poses bold, one hand pulling the slit higher as if daring stares, the other brushing braids aside, posture daring and unapologetic. Background: upscale Tokyo lounge drenched in neon rim-lighting, reflections sharp on glass and chrome, atmosphere forbidden, electric, intoxicating. Ultra-detailed, 8k, photorealistic masterpiece.

7 days ago

Video film ,effet reel. SCÈNE D'OUVERTURE INT. LE NADIR - NUIT Le plan d'ouverture nous plonge directement dans le cœur du Nadir. On voit les murs bruts, les poutres métalliques du plafond, l'estrade basse où trônent les deux piles d'enceintes massives du sound system (répliquant l'Image 2 fournie), vibrantes. Des lasers verts et rouges percent la fumée épaisse qui danse au rythme des basses. Le son est déjà bien présent : on est dans le cœur du morceau "Playmobil" de Tetra Hydro K, juste avant le gros break rythmique et mélodique. SON : Le rythme syncopé et rapide de "Playmobil" est là. La ligne de basse est martelante, les percussions électroniques claquent avec une précision chirurgicale. On entend déjà la mélodie caractéristique au synthé, un peu sombre mais très entraînante, avec des effets de delay et de phaser légers qui résonnent dans l'acoustique singulière de la salle. Le son est chaud, puissant, il enveloppe tout. La caméra balaye la foule dense, les visages illuminés par les lumières stroboscopiques et les lasers, puis se resserre sur SÉB (TOI ! - image 1) et GUIGUI (Image 3 - le chapeau), qui sont au premier plan de l'action. PITCH (Image 5 - la casquette) est légèrement en retrait, observant la scène, mais tout aussi plongé dans la musique. SÉB (TOI !) : Tes yeux sont mi-clos, un sourire béat étire tes lèvres, ton visage respire le pur kiff. La tête bouge de gauche à droite, une main tapote ta jambe au rythme, l'autre est levée, paume ouverte, comme pour attraper la musique qui rebondit sur les murs du Nadir et te pénètre. Tu skankes avec une intensité croissante, tes pieds sont précis. Tu es le moteur de l'énergie. GUIGUI : Il est juste à côté de toi, partageant la même ferveur. Son corps entier pulse, son chapeau tremble légèrement au rythme. Ses pieds tapent au sol avec une précision millimétrée, ses épaules roulent doucement. Il a un petit rire nerveux d'excitation, presque silencieux sous le son, comme s'il sentait la montée arriver. Son visage masqué par le maquillage (Image 3) est une grimace de pur bonheur. Il est ton binôme, à fond avec toi. PITCH : Il est légèrement en retrait, un peu plus en observateur, mais son corps oscille subtilement, la casquette bien ancrée sur sa tête. Ses yeux, sous le débord de la casquette, sont attentifs aux mouvements de la foule et de ses potes. Il a un petit sourire entendu, absorbé par les basses, mais moins dans l'exubérance physique. Il hoche la tête avec une concentration discrète. SON : Le morceau arrive au GROS BREAK de "Playmobil". La basse se retire un instant, ne laissant qu'une mélodie hypnotique de synthé avec un delay très long, et des percussions éparses. L'ambiance devient un peu plus éthérée, presque planante, mais l'énergie reste latente, on sent que la salle retient son souffle, un calme avant la tempête. Séb et Guigui profitent de ce bref répit pour prendre une bouffée d'air, mais leurs corps restent en mouvement léger. Pitch, quant à lui, croise les bras sur sa poitrine, son pied battant toujours discrètement le rythme. PITCH : (Sa voix est un peu cassée par le volume, mais pleine d'excitation, il mime une explosion avec ses mains, s'adressant à Séb et Guigui) LE BREAK ! Tenez-vous bien, le Nadir ! Ça va taper fort ! GUIGUI : (Fait un signe de tête énergique, un sourire aux lèvres, son chapeau se soulève presque) Oh putain... la salle va exploser ! C'est sûr ! L'EXPLOSION DUB STEPPER AU NADIR Le silence mélodique est brutalement rompu. Le KICK et la BASSE de "Playmobil" reviennent avec une force inouïe, plus puissants et percutants que jamais. Le rythme est maintenant carrément un DUB STEPPER pur et dur. La mélodie de synthé est amplifiée, saturée, avec des effets de distorsion et de phaser qui la rendent métallique et psychédélique, résonnant dans chaque recoin de la salle, faisant vibrer les murs et le plancher. SON : Le son est MASSIF, physique, presque palpable. La basse est un tremblement de terre continu, le kick frappe fort et vite, comme un battement de cœur accéléré. Des hi-hats frénétiques s'ajoutent, créant une texture sonore dense. La mélodie de synthé est en plein délire, des sirènes montantes et descendantes traversent l'espace sonore, des bruits de glitch électroniques s'y mêlent. Chaque coup de caisse claire est amplifié par un delay spatial, donnant une profondeur abyssale au son. Le volume monte encore, on sent que le son est poussé au maximum sans saturer, une puissance brute et contrôlée. Séb et Guigui explosent d'énergie, la foule autour d'eux fait de même, dans une euphorie collective. Pitch, légèrement en arrière, les observe, le sourire aux lèvres, profitant de la scène. SÉB (TOI !) : Tu lèves les deux bras au ciel, tes doigts s'agitent frénétiquement sous les lasers qui te balayent. Ton corps entier skanke avec une vigueur incroyable, tes pieds tapent le sol à un rythme effréné, presque en transe. Tu fermes les yeux un instant, la tête en arrière, sentant la basse remonter de tes pieds à ta tête, te purifiant. Ton énergie est débordante. GUIGUI : Il ne se contient plus. Il bondit sur place, ses poings serrés, son visage masqué par le maquillage (Image 3) est une grimace de pur kiff, ses yeux brillent. Il fait des moulinets avec ses bras, comme pour brasser l'air du Nadir, les effets du chapeau amplifiant ses mouvements. Il est complètement dans le flow, fusionnant avec la musique, un danseur né, totalement synchrone avec toi. PITCH : Il est légèrement en retrait, les bras croisés, un léger sourire aux lèvres. Il hoche la tête avec une intensité croissante, les pieds tapant le sol avec une rythmique parfaite, mais sans l'exubérance de ses potes. Son regard balaye la scène, appréciant le spectacle de l'énergie de Séb et Guigui, une satisfaction silencieuse. Son corps se contracte parfois légèrement, comme s'il retenait une explosion de joie intérieure. La caméra zoome brièvement sur les pieds de Séb et Guigui qui battent le rythme sur le sol du Nadir, marquant chaque temps avec détermination, puis remonte pour montrer leurs visages transpirants mais rayonnants de bonheur. Pitch, en arrière-plan, est visible, son sourire éclairant son visage, la casquette à peine chancelante. La fumée est dense, les lasers découpent leurs silhouettes en mouvements rapides. On aperçoit les lumières du bar au fond, et d'autres personnes en transe. SON : Le passage le plus "catchy" de la mélodie de "Playmobil" est répété, avec des variations dans les effets. Un gros coup de sirène bien lourde et étirée résonne dans la salle, suivie d'un phaser sur toute la piste qui donne l'impression que la structure même du Nadir tourne et ondule sous la puissance du son. Séb et Guigui se tapent dans la main, leurs regards complices. Pitch les rejoint du regard, un hochement de tête approbateur, partageant l'instant à sa manière. Ils sont en pleine communion avec la musique, la salle, l'énergie des enceintes, et l'un l'autre. LE VORTEX SONORE DU NADIR Le morceau continue son assaut. La musique ne faiblit pas, elle s'intensifie, créant un vortex sonore qui semble aspirer tout le Nadir dans une danse frénétique. SON : La basse devient encore plus oppressante, les percussions se font plus complexes, un reverb sur les rimshots donne l'impression que le son est immense et se propage dans chaque recoin de la salle, se fondant dans les murs. La mélodie de synthé est maintenant presque hypnotique dans sa répétition, avec de brefs moments de coupure de la basse pour accentuer son retour fracassant, chaque "drop" est un coup de marteau sonore. SÉB (TOI !) : Tu fermes les yeux à nouveau, tes bras se balancent avec une fluidité incroyable, porté par la musique. Tu sens chaque battement dans ton corps, la vibration des murs du Nadir, la symbiose est totale. Tu es au centre de la tempête sonore. GUIGUI : Il est en mode "focus total", les yeux rivés sur un point invisible, son corps secoué par des tremblements constants, son chapeau toujours parfaitement en place malgré l'intensité. Il lâche un petit cri d'approbation, presque un grognement de plaisir, unissant sa voix aux autres danseurs. Son énergie est à son paroxysme. PITCH : Il est toujours légèrement en retrait, mais complètement immergé. Son corps est une caisse de résonance, absorbant les basses. Il a les yeux clos, le visage apaisé par la musique, son pied battant le rythme sans relâche. Son plaisir est plus introspectif, mais non moins intense. La caméra les montre tous les trois. Séb et Guigui, exubérants, au premier plan. Pitch, en arrière-plan, sa silhouette un peu plus statique mais son visage rayonnant. La sueur coule sur leurs fronts, mais leurs visages affichent une joie et une énergie inépuisables. La salle du Nadir est leur cocon sonore, un lieu où tout est permis, où le temps semble suspendu. SON : Un gros "drop" de basse qui fait tout trembler, suivi d'une nouvelle montée de la mélodie avec des effets de "dub siren" plus agressifs, atteignant un paroxysme sonore. SÉB & GUIGUI : (À l'unisson, ou presque, après un bref silence du track, le son de leurs voix un peu étouffé par la musique mais leurs intentions claires) BOOM NADIR ! PITCH : (Lui aussi, hoche la tête vigoureusement, les yeux s'ouvrant pour un instant de pur kiff, sa main s'élevant pour pointer le sound system, sans un mot) PLAN FINAL La caméra monte en un plan large, montrant la foule entière du Nadir (Image 4), les corps balançant, les têtes hochantes, les bras levés sous les lasers. On voit les deux systèmes de son massifs sur l'estrade. L'énergie est palpable. La salle est une fournaise d'amitié, de danse et de son pur, totalement possédée par le Dub de Tetra Hydro K. Séb et Guigui sont au centre de cette euphorie collective, leur bonheur est contagieux. Pitch, légèrement en retrait mais souriant, est visible, un témoin et un participant clé de l'énergie. Leurs visages, même de loin, transmettent la joie de ce moment. SON : Le morceau se termine par un LONG DUB ECHO qui s'éteint progressivement, laissant la place aux bruits de la foule : des exclamations, des rires, des souffles haletants. Mais la résonance de la basse et l'esprit du Nadir restent dans l'air, dans les corps, dans la mémoire de cette soirée inoubliable. FADE OUT.

7 days ago

Video film ,effet reel. SCÈNE D'OUVERTURE INT. LE NADIR - NUIT Le plan d'ouverture nous plonge directement dans le cœur du Nadir. On voit les murs bruts, les poutres métalliques du plafond, l'estrade basse où trônent les deux piles d'enceintes massives du sound system (répliquant l'Image 2 fournie), vibrantes. Des lasers verts et rouges percent la fumée épaisse qui danse au rythme des basses. Le son est déjà bien présent : on est dans le cœur du morceau "Playmobil" de Tetra Hydro K, juste avant le gros break rythmique et mélodique. SON : Le rythme syncopé et rapide de "Playmobil" est là. La ligne de basse est martelante, les percussions électroniques claquent avec une précision chirurgicale. On entend déjà la mélodie caractéristique au synthé, un peu sombre mais très entraînante, avec des effets de delay et de phaser légers qui résonnent dans l'acoustique singulière de la salle. Le son est chaud, puissant, il enveloppe tout. La caméra balaye la foule dense, les visages illuminés par les lumières stroboscopiques et les lasers, puis se resserre sur SÉB (TOI ! - image 1) et GUIGUI (Image 3 - le chapeau), qui sont au premier plan de l'action. PITCH (Image 5 - la casquette) est légèrement en retrait, observant la scène, mais tout aussi plongé dans la musique. SÉB (TOI !) : Tes yeux sont mi-clos, un sourire béat étire tes lèvres, ton visage respire le pur kiff. La tête bouge de gauche à droite, une main tapote ta jambe au rythme, l'autre est levée, paume ouverte, comme pour attraper la musique qui rebondit sur les murs du Nadir et te pénètre. Tu skankes avec une intensité croissante, tes pieds sont précis. Tu es le moteur de l'énergie. GUIGUI : Il est juste à côté de toi, partageant la même ferveur. Son corps entier pulse, son chapeau tremble légèrement au rythme. Ses pieds tapent au sol avec une précision millimétrée, ses épaules roulent doucement. Il a un petit rire nerveux d'excitation, presque silencieux sous le son, comme s'il sentait la montée arriver. Son visage masqué par le maquillage (Image 3) est une grimace de pur bonheur. Il est ton binôme, à fond avec toi. PITCH : Il est légèrement en retrait, un peu plus en observateur, mais son corps oscille subtilement, la casquette bien ancrée sur sa tête. Ses yeux, sous le débord de la casquette, sont attentifs aux mouvements de la foule et de ses potes. Il a un petit sourire entendu, absorbé par les basses, mais moins dans l'exubérance physique. Il hoche la tête avec une concentration discrète. SON : Le morceau arrive au GROS BREAK de "Playmobil". La basse se retire un instant, ne laissant qu'une mélodie hypnotique de synthé avec un delay très long, et des percussions éparses. L'ambiance devient un peu plus éthérée, presque planante, mais l'énergie reste latente, on sent que la salle retient son souffle, un calme avant la tempête. Séb et Guigui profitent de ce bref répit pour prendre une bouffée d'air, mais leurs corps restent en mouvement léger. Pitch, quant à lui, croise les bras sur sa poitrine, son pied battant toujours discrètement le rythme. PITCH : (Sa voix est un peu cassée par le volume, mais pleine d'excitation, il mime une explosion avec ses mains, s'adressant à Séb et Guigui) LE BREAK ! Tenez-vous bien, le Nadir ! Ça va taper fort ! GUIGUI : (Fait un signe de tête énergique, un sourire aux lèvres, son chapeau se soulève presque) Oh putain... la salle va exploser ! C'est sûr ! L'EXPLOSION DUB STEPPER AU NADIR Le silence mélodique est brutalement rompu. Le KICK et la BASSE de "Playmobil" reviennent avec une force inouïe, plus puissants et percutants que jamais. Le rythme est maintenant carrément un DUB STEPPER pur et dur. La mélodie de synthé est amplifiée, saturée, avec des effets de distorsion et de phaser qui la rendent métallique et psychédélique, résonnant dans chaque recoin de la salle, faisant vibrer les murs et le plancher. SON : Le son est MASSIF, physique, presque palpable. La basse est un tremblement de terre continu, le kick frappe fort et vite, comme un battement de cœur accéléré. Des hi-hats frénétiques s'ajoutent, créant une texture sonore dense. La mélodie de synthé est en plein délire, des sirènes montantes et descendantes traversent l'espace sonore, des bruits de glitch électroniques s'y mêlent. Chaque coup de caisse claire est amplifié par un delay spatial, donnant une profondeur abyssale au son. Le volume monte encore, on sent que le son est poussé au maximum sans saturer, une puissance brute et contrôlée. Séb et Guigui explosent d'énergie, la foule autour d'eux fait de même, dans une euphorie collective. Pitch, légèrement en arrière, les observe, le sourire aux lèvres, profitant de la scène. SÉB (TOI !) : Tu lèves les deux bras au ciel, tes doigts s'agitent frénétiquement sous les lasers qui te balayent. Ton corps entier skanke avec une vigueur incroyable, tes pieds tapent le sol à un rythme effréné, presque en transe. Tu fermes les yeux un instant, la tête en arrière, sentant la basse remonter de tes pieds à ta tête, te purifiant. Ton énergie est débordante. GUIGUI : Il ne se contient plus. Il bondit sur place, ses poings serrés, son visage masqué par le maquillage (Image 3) est une grimace de pur kiff, ses yeux brillent. Il fait des moulinets avec ses bras, comme pour brasser l'air du Nadir, les effets du chapeau amplifiant ses mouvements. Il est complètement dans le flow, fusionnant avec la musique, un danseur né, totalement synchrone avec toi. PITCH : Il est légèrement en retrait, les bras croisés, un léger sourire aux lèvres. Il hoche la tête avec une intensité croissante, les pieds tapant le sol avec une rythmique parfaite, mais sans l'exubérance de ses potes. Son regard balaye la scène, appréciant le spectacle de l'énergie de Séb et Guigui, une satisfaction silencieuse. Son corps se contracte parfois légèrement, comme s'il retenait une explosion de joie intérieure. La caméra zoome brièvement sur les pieds de Séb et Guigui qui battent le rythme sur le sol du Nadir, marquant chaque temps avec détermination, puis remonte pour montrer leurs visages transpirants mais rayonnants de bonheur. Pitch, en arrière-plan, est visible, son sourire éclairant son visage, la casquette à peine chancelante. La fumée est dense, les lasers découpent leurs silhouettes en mouvements rapides. On aperçoit les lumières du bar au fond, et d'autres personnes en transe. SON : Le passage le plus "catchy" de la mélodie de "Playmobil" est répété, avec des variations dans les effets. Un gros coup de sirène bien lourde et étirée résonne dans la salle, suivie d'un phaser sur toute la piste qui donne l'impression que la structure même du Nadir tourne et ondule sous la puissance du son. Séb et Guigui se tapent dans la main, leurs regards complices. Pitch les rejoint du regard, un hochement de tête approbateur, partageant l'instant à sa manière. Ils sont en pleine communion avec la musique, la salle, l'énergie des enceintes, et l'un l'autre. LE VORTEX SONORE DU NADIR Le morceau continue son assaut. La musique ne faiblit pas, elle s'intensifie, créant un vortex sonore qui semble aspirer tout le Nadir dans une danse frénétique. SON : La basse devient encore plus oppressante, les percussions se font plus complexes, un reverb sur les rimshots donne l'impression que le son est immense et se propage dans chaque recoin de la salle, se fondant dans les murs. La mélodie de synthé est maintenant presque hypnotique dans sa répétition, avec de brefs moments de coupure de la basse pour accentuer son retour fracassant, chaque "drop" est un coup de marteau sonore. SÉB (TOI !) : Tu fermes les yeux à nouveau, tes bras se balancent avec une fluidité incroyable, porté par la musique. Tu sens chaque battement dans ton corps, la vibration des murs du Nadir, la symbiose est totale. Tu es au centre de la tempête sonore. GUIGUI : Il est en mode "focus total", les yeux rivés sur un point invisible, son corps secoué par des tremblements constants, son chapeau toujours parfaitement en place malgré l'intensité. Il lâche un petit cri d'approbation, presque un grognement de plaisir, unissant sa voix aux autres danseurs. Son énergie est à son paroxysme. PITCH : Il est toujours légèrement en retrait, mais complètement immergé. Son corps est une caisse de résonance, absorbant les basses. Il a les yeux clos, le visage apaisé par la musique, son pied battant le rythme sans relâche. Son plaisir est plus introspectif, mais non moins intense. La caméra les montre tous les trois. Séb et Guigui, exubérants, au premier plan. Pitch, en arrière-plan, sa silhouette un peu plus statique mais son visage rayonnant. La sueur coule sur leurs fronts, mais leurs visages affichent une joie et une énergie inépuisables. La salle du Nadir est leur cocon sonore, un lieu où tout est permis, où le temps semble suspendu. SON : Un gros "drop" de basse qui fait tout trembler, suivi d'une nouvelle montée de la mélodie avec des effets de "dub siren" plus agressifs, atteignant un paroxysme sonore. SÉB & GUIGUI : (À l'unisson, ou presque, après un bref silence du track, le son de leurs voix un peu étouffé par la musique mais leurs intentions claires) BOOM NADIR ! PITCH : (Lui aussi, hoche la tête vigoureusement, les yeux s'ouvrant pour un instant de pur kiff, sa main s'élevant pour pointer le sound system, sans un mot) PLAN FINAL La caméra monte en un plan large, montrant la foule entière du Nadir (Image 4), les corps balançant, les têtes hochantes, les bras levés sous les lasers. On voit les deux systèmes de son massifs sur l'estrade. L'énergie est palpable. La salle est une fournaise d'amitié, de danse et de son pur, totalement possédée par le Dub de Tetra Hydro K. Séb et Guigui sont au centre de cette euphorie collective, leur bonheur est contagieux. Pitch, légèrement en retrait mais souriant, est visible, un témoin et un participant clé de l'énergie. Leurs visages, même de loin, transmettent la joie de ce moment. SON : Le morceau se termine par un LONG DUB ECHO qui s'éteint progressivement, laissant la place aux bruits de la foule : des exclamations, des rires, des souffles haletants. Mais la résonance de la basse et l'esprit du Nadir restent dans l'air, dans les corps, dans la mémoire de cette soirée inoubliable. FADE OUT.